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Julia Samantha Edima : «Le personnage n’a rien à voir avec ma personnalité»

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Venue rehausser par sa beauté l’image de la 3ème édition du Grand Prix Francophilie des Médias, Miss Cameroun 2022 a répondu à quelques questions de La Voix Du Koat.  

LVDK : Quelle appréciation faîte-vous de cet troisième édition du GPFM? 

C’est un réel honneur pour moi d’avoir été invitée à cette 3ème édition du Grand Prix Francophilie des Médias, organisée par le Réseau des journalistes culturels du Cameroun. Déjà en tant qu’ambassadrice de la beauté, je suis par ricochet ambassadrice de la culture. Me retrouver dans un évènement qui valorise la culture camerounaise, qui prône le travail des médias, l’excellence, la valorisation du patrimoine camerounais, je suis honorée. Je vais juste continuer à soutenir des initiatives qui promeuvent la culture camerounaise.

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LVDK : Comment faites-vous pour gérer votre vie de mannequin, de la plus belle femme du Cameroun, et votre vie d’actrice ?

𝐉𝐮𝐥𝐢𝐚 𝐒𝐚𝐦𝐚𝐧𝐭𝐡𝐚 𝐄𝐝𝐢𝐦𝐚 : «𝐋𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐚𝐠𝐞 𝐧’𝐚 𝐫𝐢𝐞𝐧 𝐧’𝐚 à 𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐦𝐚 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐚𝐥𝐢𝐭é»
La Miss Cameroun, au Grand Prix Francophilie des Médias 2022. @CréditPhoto: Sly Boy.

Ça se passe très bien. Actuellement je privilégie mon statut de Miss Cameroun parce que c’est une responsabilité nationale. Il ne s’agit plus de moi seulement, mais de tout un pays, de ma nation. En ce qui concerne ma carrière d’actrice, je ne l’ai pas abandonné, parce que le cinéma c’est mon premier amour bien évidemment. J’ai tout simplement mis une pause. Et je compte bien reprendre après mon mandat de Miss Cameroun 2022, plus précisément dans la production, le scénario et bien sûr dans l’actorat parce que ça reste ma passion. Il y a une différence entre mon statut et ma passion.

Lire aussi :Patience Eding : «Les images que les Ong nous ramènent de l’Afrique, c’est des enfants qui pleurent, des gros ventres» 

LVDK : Le statut de Miss Cameroun est-il une plus-value dans la négociation du cachet pour un film ?

J’imagine bien que oui. Normalement, étant Miss Cameroun, je n’ai pas trop la liberté d’être active dans l’expression de ma passion pour le cinéma, parce que mes tâches me prennent énormément de temps. Mais bien évidemment après le mandat, il y a la valeur ajoutée de la personne qui augmente, et il va de soi que lorsque vous êtes sollicité dans un projet, vous grimpez en considération, en respect, en estime et même en prix. Donc j’espère en tout cas qu’après mon mandat, il y aura cet effet.

Lire aussi :Jakin Touwole : «Ce n’est pas le cinéma qui ne paye pas au Cameroun, ce sont des acteurs qui ne vivent pas du cinéma» 

LVDK : De tous les films dans lesquels vous avez joué, quel est votre préféré ?

Mon film préféré (rire)… Eh bien j’adore toutes mes productions. C’est vrai que j’ai un petit penchant en ce moment pour la série Ndinga, parce que je sors un peu de ma personnalité. Le personnage n’a rien à voir avec ma personnalité qui est généralement douce, aimable, gentille.

Lire aussi :Miss Cameroun : les plénipotentiaires du Littoral et Sud-Ouest sont connus 

Entretien avec Valgadine TONGA

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