Le concours qui met en exergue la beauté naturelle, la culture et le prestige ira du 8octobre au 15 décembre 2018.
La Société anonyme des Brasseries du Cameroun a lancé, ce jeudi 20 septembre 2018, à son siège à Douala, la quatrième édition du concours de beauté Miss Orangina. Juste une cérémonie protocolaire, puisque les inscriptions ont commencé depuis le 15 septembre courant. Un minimum de 500 candidatures est attendu. Les conditions de participation sont les-mêmes. La candidate doit : être de nationalité camerounaise ; être âgée d’au moins 18 ans et de 25 ans au plus à la date du casting ; être célibataire ; ne pas porter de tatouage ou de piercing visible ; ne jamais avoir posé nu ou partiellement dénudé ; ne pas avoir été l’ambassadrice ou l’égérie d’une autre marque ; n’avoir pas faire l’objet d’une poursuite judiciaire ; être d’une beauté naturelle ; avoir au minimum le Baccalauréat…

Les sélections auront lieu dans les chefs-lieux des régions du Littoral, du Sud, du Centre et de l’Adamaoua. Pour maximiser les chances, les prétendantes à la prestigieuse couronne devront pouvoir «s’exprimer en leur langue maternelle, cuisiner un repas typiquement de leur région. Elle doit aussi défiler en tenue traditionnelle. C’est la preuve que nous recherchons le naturel, l’ ‘‘Oranginalité’’», explique Yves Christian Dikongo, Chef service Boissons gazeuses à la Direction commerciale et marketing de la Sabc.
Comme innovation, la finale -du 15 décembre- de cette quatrième édition se déportera à Yaoundé. Pour un besoin de prestige, les festivités auront lieu au Palais de Congrès. La Miss repartira avec un lot d’un montant d’un million cinq cent Fcfa. La 1ère Dauphine bénéficiera d’une somme de sept cent mille Fcfa, et cinq cent mille Fcfa pour la 2ème Dauphine. Autre nouveauté, les votes de l’étape finale se feront également sur Facebook, soit 40%, et 60% pour le jury.
La Miss 2017 conseille déjà aux futures candidates «d’être naturelles. Je leur conseille de prendre du plaisir, de ne pas d’abord penser à la couronne, mais de profiter de l’expérience parce que chaque étape est intéressante. Elles doivent avoir confiance en elles», dixit Fabiola Atta.
Valgadine TONGA