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AccueilAu Tribunal : Vers une liberté provisoire des leaders anglophones

Au Tribunal : Vers une liberté provisoire des leaders anglophones

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Le tribunal militaire de Yaoundé a annoncé mercredi qu’il n’est pas contre la mise en liberté provisoire de Félix Agbor Nkongho et Neba Fontem Aforteka’a.

Le tribunal militaire de Yaoundé a annoncé mercredi qu’il n’est pas contre la mise en liberté provisoire de Félix Agbor Nkongho et Neba Fontem Aforteka'a.
Des avocats en grève (Archives)

Un nouveau procès des leaders anglophones a eu lieu mercredi au tribunal militaire de Yaoundé. Trois figures de la contestation font partie des accusés: Félix Agbor Nkongho, avocat, Neba Fontem Aforteka’a, enseignant, et Mancho Bibixy, dit « BBC », animateur de radio.

Lors de la reprise de ce procès qui a débuté le 23 mars dernier, le commissaire du gouvernement (procureur) a indiqué ne pas être «hostile» à la mise en liberté provisoire des deux premiers, assortie d’un placement sous surveillance judiciaire. «Le ministère public n’est pas opposé à la mise sous surveillance judiciaire» de Félix Agbor Nkongho et de Neba Fontem Aforteka’a, a indiqué le commissaire du gouvernement, rapporte AFP. Le parquet a, en revanche, requis le rejet pur et simple de la demande de libération provisoire des 25 autres accusés, apprend-on.

La mise sous surveillance judiciaire signifie que les deux leaders sortent de prison, mais qu’ils sont «astreints à un certain nombre d’obligations que le tribunal va déterminer», a expliqué à l’AFP Me Claude Assira, l’un des avocats des accusés. Pour le parquet, une telle mesure, si elle devait être prise par les juges, devrait être assortie d’une décision d’interdiction de sortie du territoire pour les deux leaders et de l’obligation de verser une caution. Les juges ont ensuite renvoyé le procès au 7 juin, date à laquelle ils se prononceront sur la demande de mise en liberté des accusés.

Félix Agbor Nkongho, avocat, et Neba Fontem Aforteka’a, enseignant d’université sont les principaux responsables du Cameroon Anglophone Civil Society consortium (Cacsc), interdit en janvier par les autorités après un appel à la grève dans les zones anglophones du pays

Source : Cameroun-info.net

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