La coordonnatrice du Mouvement citoyen des Franckistes pour la paix et l’unité du Cameroun (Mcfp) à l’Est est convaincue que la politique est un moyen de servir les autres et de contribuer à la construction d’un monde juste et équitable.
Dès sa naissance le 20 avril 1985 à Akok-Maka, dernier village du département du Haut-Nyon à l’Est, limitrophe à la région du Centre, Stéphanie Daplouma a toujours été animée par le désir d’aider les autres et de contribuer à l’amélioration de leurs conditions de vie.
Titulaire d’un Master en Environnement, option assainissement et restauration de l’environnement obtenu à l’université de Yaoundé 1, elle a toujours été une femme dynamique et engagée pour le développement socio-économique des femmes et leur autonomisation. « En toute honnêteté, je suis entrée en politique par hasard. Je le dis parce que je ne savais pas que c’était de la politique. J’ai toujours été animée par l’idée d’aider les gens à améliorer leurs conditions de vie de façon multiforme, en posant des actes autour de moi pour les accompagner chaque jour dans leurs difficultés. Mais aussi pour contribuer à assainir notre environnement. C’est en faisant tout cela, que j’ai fini par comprendre que c’était de la politique au regard des nombreuses responsabilités qui m’ont été données », avoue-t-elle.
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En tant que coordonnatrice du Mouvement citoyen des Franckistes pour la paix et l’unité du Cameroun (Mcfp) à l’Est, Stéphanie Daplouma est convaincue que la politique est un moyen de servir les autres et de contribuer à la construction d’un monde juste et équitable. « En tant que femme politique puisque je dois désormais porter cet attribut, j’espère que des responsabilités plus importantes me seront confiées afin que je puisse de façon considérable impacter la vie des camerounais et des camerounaises dans leur ensemble. Je suis prête à m’investir pleinement pour accompagner notre pays vers la sortie de l’obscurantisme et atteindre l’émergence tant souhaitée par le Patriarche, Président Paul Biya. En d’autres termes, servir de façon élective ou désignée », pense-t-elle.
Différence positive
Dans la région de l’Est, Stéphanie Daplouma est réputée être une femme de conviction et de principes, qui se bat pour les valeurs de justice, d’équité et de paix. Elle est déterminée à utiliser ses compétences et son expérience pour faire une différence positive dans la vie des Camerounais et des Camerounaises. Selon Marie-Claire Bissoka, une habitante de la ville de Bertoua, « Stéphanie est une vraie source d’inspiration pour les jeunes filles. Elle a souvent organisé des formations pour nous apprendre à nous prendre en charge et à nous autonomiser. Elle nous a montré que nous pouvons réussir et atteindre nos objectifs si nous travaillons dur et que nous croyons en nous-mêmes ». Malgré les défis et les obstacles qu’elle rencontre, Stéphanie Daplouma reste optimiste et déterminée. Elle est convaincue qu’ensemble, nous pouvons construire un avenir meilleur pour tous. « Je pense à un monde de justice où l’équité règne en maître. Un Cameroun dans lequel les enfants ont les mêmes chances de bénéficier de l’éducation, des soins de santé, de l’électricité, de la nourriture et de l’eau potable ». Pour elle, « ce sont des besoins essentiels pour permettre à tout enfant de grandir dans un certain équilibre ». La région de l’Est dont elle originaire souffre énormément de ces maux, même s’il faut reconnaître que des efforts sont faits dans ce sens par les pouvoirs publics. Sauf le sempiternel problème de la redistribution demeure. Il demeure des privilégiés d’un côté et des exclus d’un autre. « J’espère vivement que notre champion Franck Emmanuel Biya présidera aux destinées de ce pays que ce soit en 2025 ou plus tard. Mon engagement à ses côtés est indéfectible aussi bien que mon militantisme dans notre Mouvement des Franckistes donc l’objectif majeur est d’atteindre une transition pacifique pour un Cameroun uni et en paix », conclut-elle.
Ange-Gabriel OLINGA BENG
