Après son agrément, la nouvelle offre de transport intra et interurbain On Go a pris la route ce 17 avril 2023.
On Go se racontait déjà, avant même son lancement officiel, le lundi 17 avril. C’est qu’il a beaucoup de spécificités. Déjà le nom, On Go qui est un francanglais signifiant ‘‘allons, on va, on part’’. De deux, «l’initiative est portée par des ingénieurs locaux, associés à un collectif d’ingénieurs camerounais de la diaspora (France, Canada, Etats-Unis…) qui ont fait leurs études dans les plus grandes écoles d’ingénieurs à travers le monde. A partir de leur savoir, ils ont décidé d’améliorer l’offre de transport dans leur pays d’origine», lit-on sur le communiqué de presse signé de Lamine Nyamoutet, Président-directeur-général d’Intelart Technology, entreprise qui porte la plateforme On Go.
«On Go est la première plateforme numérique de transport urbain et interurbain agréée par le ministère des Transports du Cameroun», se vante le Pdg. Il a de quoi, parce que c’est l’absence de ce caractère légal qui a justifié l’interdiction de Yango par les pouvoirs publics. De plus, à lire le communiqué de presse, on comprend que la palette d’offres est plus riche que celle offrait Yango hier.
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On Go ne se limite pas aux courses dans une ville, encore moins à Douala ou Yaoundé. Les voitures sont sur le triangle national. «Fini les déplacements en agence et l’attente au guichet. Nous vous donnons accès à une voiture en quelques clics, où vous voulez et quand vous voulez», assure On Go. Pour les conducteurs, «la plateforme est ouverte à tous les chauffeurs professionnels, taxis, propriétaires de véhicules conformes, qui souhaitent booster leur activité et augmenter leurs revenus. Cette initiative répond doublement à l’appel du président de la République en direction de la diaspora pour son implication dans le développement de notre pays, et aussi pour la création d’emplois», souligne Lamine Nyamoutet.
D.N.
Je suis chauffeur
Je réside à Douala