Un séminaire de formation, de sensibilisation et de mobilisation des responsables des sections RDPC d’Afrique s’est tenu le 23 juin 2017 au cercle municipale de Douala.

Le Rassemblement du peule camerounais, RDPC veut se positionner comme un parti qui est toujours en perpétuelle réflexion sur son devenir et celui de ses militants. Ils étaient sept présidents des sections RDPC d’Afrique qui se réunissaient pour la toute première fois depuis leurs élections. A savoir Peter Ndi de l’Afrique du Sud, Nonda Paul Gill du Congo Brazzaville, Ndonzeu Jean-Marie du Gabon, Njoya Timothée de la Guinée Equatoriale, Mbuitcho Robert du Sénégal, Mbopda Joseph du Tchad et Ntondo Ntone Blaise de la Cote d’Ivoire.
Cette rencontre est une fois de plus l’occasion pour les militants du RDPC de mener une réflexion pour une nouvelle prise de conscience sur la responsabilité politique du parti. Le secrétaire général du comité Centrale du RDPC, Jean Nkuete n’a pas manqué de leur féliciter pour leur «brillante élection», en les encourageant de «rassembler ceux de nos compatriotes de la diaspora qui n’ont pas encore rejoint les rangs du parti à le faire et que ceux qui sont doivent continuer mieux que dans le passé à contribuer à la construction de la nation». Jean Nkuete a aussi signifié à l’auditoire « la grandeur d’un parti s’évalue aux victoires qu’il engrange dans la douleur».
L’objet de ce séminaire est assez évocateur si l’on s’en tient au constat que fait le ministre d’Etat, Laurent Esso chef de la délégation permanente régionale du Comité Centrale du RDPC pour le Littoral. «C’est le temps pour une meilleure prise de connaissance, une meilleure compréhension de nos objectifs ; c’est le temps pour une nouvelle perception du chemin parcouru et du chemin à parcourir ; c’est le temps pour nous de mieux nous approprier les stratégies de notre parti ; c’est le temps pour une vision plus claire du sens de notre engagement ; c’est le temps pour une vitalité renouvelée dans nos actions. » A l’endroit des présidents des sections d’Afrique, il leur à rappeler que c’est par eux que les messages délivrés devront être relayés sur le terrain, dans les organes de base dont ils ont la charge.
Jean-Marie NDIM NDIM