Originaire de Bamoum, Jimmy Zakari Yadib a contribué au développement du Noun durant son mandat à la tête de l’Association des ressortissants du Noun.
A l’évocation de son nom, même les plus jeunes célèbrent ses mérites. Parmi les hommes qui participent au développement et au rayonnement du département du Noun, le plus vaste de la Région de l’Ouest Cameroun, se trouve en bonne place. Jimmy Zakari Yadib est le recours des innocents et pauvres, lui qui est d’un arrondissement où la pauvreté, la souffrance et le sous développement se sont établis en maître. Aux yeux des populations de ce département, Jimmy Zakari Yadib, l’ancien élève du Lycée polyvalent de Bonaberi est un modèle.

Ce responsable du Bureau direct de la compagnie d’assurance Nsia, agence de Deido à Douala, s’est imposé comme l’un des piliers, garantissant la force actuelle de l’unité administrative. Non pas que toutes les autres élites soient inactives. Mais parce que ses actions et son attitude crèvent l’écran au regard des considérations que les populations lui portent. Que ce soit sur le plan traditionnel, social, culturel et surtout économique, Jimmy Zakari Yadib, président exécutif du Comité d’organisation du festival culturel du peule Bamoun (Ngoun) dans le Wouri depuis 2016, a laissé sa griffe. Durant son mandat à la tête de l’Assemblée des associations des ressortissants du Noun (Aressono) de 2010 à 2013, par ses relations et de concert avec les forces vives, Jimmy Zakari Yadib a contribué au développement du Noun.
Un budget de 12.000.000 Fcfa
Les œuvres de l’Aressono sous sa conduite sont appréciées. Les plus illustres restent sans nul doute, la mobilisation de plus de 118 millions Fcfa pour la réalisation des projets sociaux. Dans le secteur éducatif par exemple, un bâtiment de 2 salles de classe au Cetic de Mancha pour un budget de plus de 12.000.000 Fcfa a été construit. Egalement, un bâtiment de 2 salles de classe conforme aux normes ministérielles et une direction à l’Ecole maternelle de Nkounja –Njimonoun – un bâtiment de 2 salles de classe à l’Ecole publique du centre à Nkounja – une salle de classe à Magnitgouen-Nkounja – un bâtiment de 2 salles de classe à l’Ecole publique de Makom-Matebain – un bâtiment de 2 salles de classe à l’Ecole publique de Magouwoun-Matoufa – un bâtiment de 2 salles de classe à la Sar/Sm de Njimom – un bâtiment de 2 salles de classe au CES de Mamarom – un bâtiment de 2 salles de classe à l’Ecole publique de koupaMenke – un bâtiment de 2 salles de classe à l’Ecole maternelle de Koutoukouop – un bâtiment de 3 salles de classe à l’Ecole publique Kouombouo – un bâtiment de 2 salles de classe à l’Ecole publique de Bafolé et un bâtiment de 2 salles de classe au Cetic de Koupa-Matapit.
Ce père de famille, né le 16 Juillet 1974 à Douala, sait qu’il doit travailler pour la horde de ceux qui marchent debout. Dans ce registre, la Maison de la femme de Njiloum a été construite, ainsi que celle de Bafolé. On ne saurait oublier la construction du Foyer communautaire de Matoufa – la construction de la Case de santé à Makom-centre – la réalisation d’une adduction d’eau potable sur plus de 6 km dans le village Koumelap et le reprofillage du tronçon routier Koudagouo – chefferie de Koutoukouop, avec des fonds provenant majoritairement des relations et des actes de lobbying de ce fils Bamoum.
Emmanuel YIMGA