La dépouille de l’artiste- musicienne camerounaise basée en France a été admise à la morgue à Compiègne et est à la disposition du procureur de la République. Selon les indicateurs de la politique, les enquêtes pour déterminer les mobiles de la mort de Clarisse Valerie s’achèvent ce vendredi, 3 août 2018.

Clarisse Valerie Wopso, 39 ans, Camerounaise de la region du Sud, a été découverte en état de décomposition dans sa chambre. Son décès remonte à une semaine avant La découverte du corps. La famille de Clarisse Valerie pourrait, après la phase des investigations, récupérer le corps du le procureur de la République décide de lever les scellés. Dans ce cas, il sera impératif de trouver des ressources pécuniaires dans les 24h pour transférer, illico presto, Le corps à Paris, puis au Cameroun. Chanceline, la soeur aînée de l’artiste- musicienne, et Chantal Ayissi sont, au dire d’une source étrangère, inconsolables. Ce sont, en effet, ces deux femmes qui ont décidé, ce jeudi, 2 août 2018 en matinée, de se rendre au commissariat de police du 20ème arrondissement de Paris. Question de s’assurer de quoi est morte Clarisse Valerie il y a une semaine. C’est après cette première étape qu’elles ont pris la route de Compiègne à 14h et 30mn. Après avoir décliné son identité pour prouver qu’elle est la soeur aînée de l’artiste-musicienne, Chanceline a été ébahie de suivre la sentence qui lui a été livrée par la police. Sentence relative à la découverte du corps de Clarisse Valerie en état de décomposition dans sa chambre. Ainsi Chantal Ayissi et Chanceline ont-elles fondu en larmes.
C’est suite à l’agitation des activistes des réseaux sociaux qui ont, depuis le 1er août 2018, diffusé des informations et contre-vérités assorties de fantasmes mettant l’opinion publique nationale et internationale en émoi que la France s’est résolue à ouvrir une enquête sur la mort de Clarisse Valerie. Au départ, les services de décès de la mairie de Compiègne n’ont enregistré aucun cas de décès au 35 impasse Jean de la Fontaine du 1er au 2 août 2018. Même les sapeurs pompiers situés au 2ème avenue de Brury Saint Edmond ont gardé mutisme quant à la nouvelle du décès de la fille native du Dja et Lobo, qui était diffusée comme une traînée de poudre. Ce sont les enquêteurs mis à contribution à la résidence Poincaré de Magny-les Compiègne dans le département de l’Oise, où était logée Clarisse Valerie par les services sociaux qui ont constaté, curieusement, que le téléphone de cette dernière ne passait plus. D’où l’encerlement de la chambre de l’artiste par les banderoles de la police. Il y régnait, selon une source étrangère, un silence austère. Aussi le consulat de la France n’avait-il aucune donnée informative de la ressortissante, dont la rumeur sur le décès était propagée ici et ailleurs, entraînant la confusion dans les esprits des concitoyens.
Serge Aimé BIKOI