Près d’une quinzaine de comédiens venus de huit pays d’Afrique et de France défileront sur la scène de l’Ifc de Douala, pour cette édition qui débute demain mardi 4 octobre 2022.
Il sera 16 heures précises, mardi 4 octobre 2022, lorsque le rideau de l’Institut français de Douala s’ouvrira sur le premier comédien de la 6ème édition de l’Africa Stand Up festival. Le programme et les attentes de cette nouvelle aventure ont été déclinés jeudi 28 septembre 2022 lors de la conférence de presse donnée par Valery Ndongo, le promoteur de ce festival. «Nous sommes à la 6ème édition de l’Africa Stand Up festival. Je tiens toujours à préciser que je comptabilise à partir du moment où nous sommes entrés en contact avec Canal plus. La 6ème édition commence mardi, 4 octobre prochain à 16 heures à Douala. Nous commencerons par des humoristes hommes. Mercredi 5 octobre, les femmes prendront le relais. Elles débuteront également à 16 heures pour s’arrêter à 20 heures» a déroulé Valery Ndongo.
Lire aussi :Africa stand up festival : les femmes ont la cote
Près d’une quinzaine de comédiens venant de huit pays d’Afrique et de la France monteront sur les planches de l’Ifc de Douala à l’occasion de cette 6ème édition dont l’ambition est le développement d’une culture de la consommation des festivals stand up au Cameroun.
Lire aussi :Claye Edou : «La communauté camerounaise de Montréal est très mobilisée»
L’innovation cette année sera la programmation de trois one man show par jour. Ceci en deux jours. «En fait, je suis en train d’’introduire progressivement la culture de la consommation des festivals de stand up. On commence cette année en ayant trois one men show et trois one women show. L’année passée, l’on en avait deux par soirée. Cette année on va évoluer en faisant trois one men show et trois women show. Depuis trois ans, on essaye vraiment de maintenir le principe de parité genre», poursuivit-il.
Lire aussi :Festival : Le Mois du Stand-up joue son acte deux à Douala
Le conférencier a surtout invité les uns et les autres notamment les professionnels de la plume et du micro à jouer leur partition en apportant leur regard critique sur les prestations des comédiens. Comme on dit, il ne saurait avoir d’art sans critique.
Lire aussi :Ebenezer Kepombia : «Je laisse le terrain»
Blanchard BIHEL