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Lutte contre le banditisme : Moto Afrique enrôle les moto-taximen à Douala

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La campagne a été lancée ce  lundi 8 juillet au cours d’un point de presse. Les conducteurs d’engin à deux roues doivent désormais se plier aux règles.

La récréation est terminée !  Il est désormais question de parler d’une seule voix.  Dans un  communiqué signé le 03 juillet 2024  par le Dr. Roger Mbassa Ndine,  maire de la ville de Douala relatif à l’identification des motos-taxis  sur la plateforme numérique, les syndicats professionnels de ce  secteur d’activité trouvent en cette lettre une belle initiative à ne pas manquer. Il est désormais question de considérer le métier de moto-taximen comme  tout autre, tout en mettant hors d’état de nuire les mauvais grains.

« L’objectif visé par cet enrôlement c’est de permettre  aux  populations qui vivent dans la ville de Douala  de faire le distinguo entre les moto-taximen et les bandits. C’est l’unique solution  pour  que les bandits qui ont infesté ce secteur puissent être écartés. Si  l’opération d’enrôlement réussit tel qu’on le veut, d’ici à là, les populations qui vont vivre dans la ville de Douala seront en sécurité et rassurer », a certifié Samuel Frank Mvondo, promoteur du concept Moto-Afrique et  partenaire  des transporteurs routiers au Cameroun.

Lire aussi :Mototaxis au Cameroun : l’assainissement du secteur en marche  

Pour permettre à chaque mototaxi de se faire enrôler, cinq  points d’ancrage ont été mis sur  pieds, notamment Douala 5ème à la mairie de Douala 5ème ;  Douala 4ème au cercle municipal ;  Douala 2ème au centre multi fonctionnel ;  Douala 1er à  la salle des fêtes d’Akwa.  Les Pièces exigibles pouvant permettre au moto-taximen d’accéder à l’enrôlement : être muni d’une carte nationale d’identité,  le  permis de conduire de catégorie A en cours de validité, et une carte grise. Pour ceux  qui ne sont pas encore en possession de tous ces documents, se  « rapprocher  des points d’enrôlement car le maire de la ville a donné  la possibilité pour ces papiers  soient préfinancé par un partenaire qui   nous apporte des financements. Ce ne sera question de volonté », a affirmé le promoteur du projet moto Afrique.

« Si nous avons choisi le cercle municipal, à Bonassama,  c’est le déclenchement. Mais après deux à trois mois, nous allons nous déporter sur le terrain, parce qu’il y a certains moto-taximen qui travaillent dans les périphéries. Nous allons toutes entrer et sortir de Bonaberi. Cela dépendra de tout un chacun. La récréation est terminée », a expliqué Simplice Tabate, responsable du syndicat des motos-taxis  à Douala 4ème. Un retournement de la situation dans l’assainissement  du secteur des motos-taxis, instable de la ville  de Douala estimés à plus  de 20.000 depuis 2018.

 H.T.

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