Une organisation rigoureuse, des milliers d’enfants honorés et une politique sociale rendue visible par le geste, le rituel et la cohésion collective. La Socapalm a transformé la célébration annuelle de son arbre de Noël samedi, 13 décembre dernier, en acte social lisible.
Sous un ciel clément de décembre, tous les sites de la Socapalm ont vibré à l’unisson, portés par une célébration devenue rituel : l’Arbre de Noël des enfants du personnel. Le 13 décembre 2025, d’Édéa aux autres plantations, l’entreprise a offert bien plus qu’une fête. Elle a donné à voir une vision, une méthode et une fidélité aux valeurs humaines qui structurent son action sociale.
L’ambiance, au cœur des tentes blanches, oscille harmonieusement entre ferveur et liesse. Les couleurs vives – rouge des costumes et des ballons, vert profond de la végétation dialoguent avec le décor simple mais évocateur. Les enfants, assis sur des chaises aux teintes gaies et d’autres lancés dans des chorégraphies rythmées, incarnent une joie plurielle, tantôt concentrée, tantôt débordante. Autour d’eux, les adultes veillent sans dominer, sécurisent sans étouffer, donnant à la fête sa dimension de transmission.
Une organisation cadencée
Plus de 12 000 cadeaux ont été distribués à l’échelle des différents sites, dont plus de 650 pour la seule plantation d’Édéa. Ces données, loin d’une froide comptabilité, traduisent l’ampleur d’un engagement assumé envers les familles des employés. Ici, chaque cadeau devient une reconnaissance silencieuse du rôle central de l’enfant dans la stabilité du capital humain.
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La rigueur de l’organisation a donné à cette générosité un cadre lisible et rassurant. Dès 8 heures, l’accueil des enfants et des parents installe une atmosphère de proximité. À 9 heures, l’arrivée du Directeur de la plantation et son allocution rappellent que la fête est aussi un acte managérial. « Derrière nos projets et nos réussites, il y a surtout une grande famille humaine », souligne-t-il, avant d’inviter chacun à goûter à « la magie et à la générosité de Noël ». Le programme, méthodiquement déroulé, laisse ensuite toute la scène aux enfants : danses, concours, démonstrations culturelles, jusqu’à l’arrivée très attendue du Père Noël et la distribution des cadeaux.
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Un rituel au cœur d’une politique sociétale
Par la voix du délégué du personnel, Nji Tata Francis, la gratitude s’exprime. Cette cérémonie, entrée « dans les habitudes et la coutume, matérialise l’attachement de la direction aux travailleurs et à leurs enfants », affirme-t-il.
Les parents, à l’image de dame Enanga Alexandre, y voient une fierté et un soulagement, tandis que les enfants eux-mêmes rappellent avec candeur dans leur allocution, que « Noël, c’est notre fête ».
Au-delà de la célébration, l’Arbre de Noël de la Socapalm s’impose comme une traduction concrète de sa politique sociale. Responsabilité, reconnaissance, cohésion et respect des engagements s’y donnent rendez-vous. Dans ce rituel annuel, l’entreprise affirme que la performance durable commence par un regard bienveillant posé sur l’enfance, et que la solidarité, lorsqu’elle est organisée et sincère, devient un puissant ciment collectif.
Après les rires d’enfants et la magie partagée sous les tentes de Noël, la Socapalm ne referme pas le livre du vivre-ensemble. Elle en tourne simplement la page. Car déjà, un autre rendez-vous fédérateur s’annonce, tout aussi chargé de sens et d’énergie collective. À partir du 18 prochain, place à Palmfoot, l’événement sportif annuel qui réunira l’ensemble des sites de la Socapalm autour du ballon rond et du lawn-tennis, dans une effervescence fraternelle où la compétition épouse la convivialité. Après l’enfance célébrée, ce sont les équipes, les corps et les passions qui entreront en jeu. Même esprit, même ferveur : celle d’une entreprise qui sait que la cohésion se cultive autant dans la fête que sur le terrain.
Cheikh Malcolm Radykhal EPANDA






