A l’époque, Nicolas Sarkozy, appuyé par les médias déstabilisateurs, avaient menti, avec des fausses preuves montées de toutes pièces, que c’est Alassane Ouattara qui avait remporté la présidentielle de 2010 en Côte d’ivoire.
Avec l’appui des militaires français, le président Laurent Gbagbo avait été kidnappé comme un chien dans son palais. Les images de son kidnapping ont fait la Une des médias sanguinaires.
Parce qu’il aimait son peuple, Laurent Gbagbo n’avait pas riposté. C’est par amour pour son pays. Aujourd’hui, malgré toutes les fausses preuves contre lui, Laurent Gbagbo et ses compagnons de lutte ont été acquittés. Ça énerve les prédateurs, mais nul ne peut rien contre la volonté de Dieu.
Même scenario en RDC
Décidément, les médias fake, comme Trump les appelle, ne sont pas rassasiés du sang qu’ils versent tous les jours en Afrique. Comme si le scenario ivoirien ne suffisait pas, la France et ses pions sur le continent sont en train de monter un sale jeu en République démocratique du Congo (RDC).
Depuis quelques jours, ils fabriquent des preuves pour prouver que Martin Fayulu est le vainqueur de l’élection présidentielle du 30 décembre 2018.
Leurs « experts » électoraux pour l’Afrique s’expriment comme des gens normaux à l’antenne pour justifier une bêtise. Ils sont allés jusqu’à saisir le conseil de sécurité de l’Onu (Organisation des nations unies) pour préparer le chaos comme en Cote d’Ivoire. Si les Congolais sont naïfs, ils se feront aussi berner. Et la CPI se mettra en branle contre Kabila et ses hommes.
Qui jugera ces medias criminels pour tout le mal fait en Afrique ?
Qu’on me dise ce que les médias français ont déjà fait de bien en Afrique et je plaiderai pour eux sur le continent. Sinon qu’ils se mêlent des problèmes de l’Union Européenne. Point.
Source : www.ndengue.com