En visite de travail à Douala, la ministre a constaté avec amertume le retard accusé dans les chantiers du Chan et de la Can. Une réalité en inadéquation avec les rapports qui lui parvenaient.
Furieuse ! Le vocable n’est pas suffisamment puissant pour qualifier l’ire de la ministre de l’Habitat et du Développement urbain (Minhdu). Ulcérée par le constat qu’elle a elle-même fait sur le terrain, Célestine Ketcha Courtès qui a poursuivi sa visite de 48h à Douala à l’effet de vérifier l’évolution des chantiers des voies d’accès et des voies de contournement, ainsi que des voies secondaires nécessaires à la mobilité urbaine, en est sortie les nerfs à fleur à peau. Des drains