La nuit du 31 mai 2019 a été l’une des plus noires au Cameroun, quand le ciel de la ville balnéaire de Limbé était fendu par une lumière inhabituelle. Lumière émanant des flammes qui ravageaient les installations de l’une des plus anciennes sociétés parapubliques du pays, la Société nationale de raffinage en abrégé Sonara. Le lendemain 1er juin 2019, le directeur général Jean Paul Simo Njonou rendait public un communiqué plutôt lourd de conséquence. Il indique que les dégâts vont au-delà des pertes matérielles. D’après la revue en ligne l’expertcomptable.com, la force majeure est juridiquement dans ce cas plus étroite que la force majeure au sens commun. Elle explique qu’en droit, 3 caractéristiques permettent de l’identifier