L’humanité est à l’aube d’une nouvelle ère, celle des machines, de la biométrie , de la robotique et de l’identité numérique. Une ère qui vraisemblablement pourrait dans les années à venir si rien n’est fait (Bioéthique) pousser le ou les produit(s) de la créativité et du génie humain à se substituer à celui-ci et peut-être même pourquoi pas l’asservir. C’est dans cette perspective par exemple que l’Union Européenne (UE) est en train de développer un projet d’identité numérique qui pourrait avoir des conséquences dramatiques pour la vie privée et la liberté des individus. Le projet « European Digital Identity » (EUDI) vise à créer un système d’identification numérique centralisé pour les citoyens et les entreprises de l’UE dans un premier temps mais qui à la longue devra être vulgarisé et peut-être même imposé au reste du monde selon les déclarations d’Ursula Von Der Leyen (Présidente de la Commission Européenne). Loin de l’idéal prôné et avancé par Ursula Von Der Leyen, ce projet soulève de nombreuses inquiétudes quant à son impact sur nos libertés fondamentales.
I- UN SYSTÈME DE SURVEILLANCE DE MASSE
Présenté aujourd’hui comme une solution à la désinformation, à la sécurité et la protection des données personnelles et confidentielles, le projet d’identité numérique à la réalité se trouve être la manifestation de la phase ultime du capitalisme, du néolibéralisme et du mondialisme.
Il convient de rappeler que ce projet avait déjà été rejeté par le peuple Suisse voilà bientôt 04 ans aujourd’hui. Bien que la France et l’Allemagne aient commencé à l’expérimenter, il faut noter qu’on parle ici d’un projet qui de manière pratique va lier nos données biométriques à une identité légale ; Condition d’accès aux services sociaux de base , à l’argent et aux droits. Un « remake » de ce qu’a connu le monde durant la période COVID où sans « PASS SANITAIRE » prouvant que vous avez été vaccinés, il vous était impossible d’avoir accès à certains services sociaux de base y compris votre « droit au travail »… Nous y sommes une fois de plus mais sauf que cette fois ci, il est question de « NUMÉRISATION DE L’HOMME » afin de le transformer en un « CODE INFORMATIQUE » dont la source serait détenue et contrôlée depuis un bureau ou un laboratoire à New-York, Washington, Paris ou Londres.
Ce projet pourrait permettre aux gouvernements et aux entreprises privées de suivre les activités des individus de manière plus efficace, ce qui va très certainement entraîner une perte de liberté et d’autonomie. Les données personnelles des individus pourraient être utilisées à des fins commerciales ou politiques sans leur consentement ce qui constitue une atteinte à la vie privée.
Il – UN RISQUE D’EXCLUSION NUMÉRIQUE ET DE CONTRÔLE SOCIAL
Le projet d’identité numérique fait parti du Plan de route de l’agenda 2030 de l’ONU qui est en réalité le plan de route des Fondations Rockefeller et des Fondations Bill et Mélinda Gates avec pour fondement le traité de « DÉCLARATION SUR LA SANTÉ ».
Le traité de « Déclaration sur la santé » bien que rejeté par le mandataire du gouvernement Trump à la personne de Robert Fitzgerald Kennedy Junior, Secrétaire d’État à la Santé durant l’assemblée générale de l’OMS ; n’en demeure pas moins dangereux puisse qu’il reste d’actualité au niveau des instances internationales précisément Onusien surtout avec la réactualisation du projet d’identité numérique porté par l’Union Européenne.
Le traité de « Déclaration sur la santé » est un plan d’asservissement technocratique mondial dissimulé derrière un langage mielleux de « Coopération ».
QU’EN EST-IL DE SON CONTENU ( TRAITÉ DE DÉCLARATION DE SANTÉ) ?
1- Une surveillance numérique obligatoire de chaque citoyen au nom de la santé
2- Un système d’identification biométrique inter – pays : pas d’échappatoire, pas de confidentialité.
3- Des pouvoirs politiques confiés à des entités commerciales comme Pfizer, le World Economic Forum (WEF) et la Fondation Gates.
4- Des Applications juridiquement contraignantes via des clauses d’interopérabilité rendant la souveraineté obsolète.
En réalité il ne s’agit plus d’un traité au sens noble du mot mais plutôt d’un « COUP D’ÉTAT » en tentant de transformer chaque être humain sur terre en un atout contrôlable et lisible. Les personnes qui n’ont pas accès à l’identité numérique ou qui choisissent de ne pas l’utiliser pourraient être exclues de certains services et avantages ce qui va immédiatement accentuer voir même aggraver les inégalités sociales et économiques. Tout ceci va entraîner irrémédiablement une perte de l’anonymat et de la liberté d’expression.
NB : Ce projet d’identité numérique au combien important et déterminant pour l’agenda Géopolitique porté par les Mondialistes au travers de leurs instruments ( ONU , WEF , SOROS, OMS, FONDATION GATES, UE ) est en pleine expansion sur le continent africain avec le Kenya comme porte d’entrée.
La Fondation Gates finance déjà un projet de ce genre au Kenya qui va implanter des identifiants numériques dans les nouveaux nés au Kenya. Ce projet est connu sous le nom de code « MAISHA NAMBA ». Le lancement du projet a été reporté par les autorités du pays en début du mois d’octobre en raison des « circonstances défavorables ».
Par Charly KENGNE, Géostratège
