Porté à la tête de la Lfpc en 2011, le valeureux soldat pense qu’il n’a pas suffisamment donné à cette instance où il a atterri non pas par la voie des urnes mais par le pouvoir discrétionnaire du Chef de l’Etat qu’il appelle affectueusement son patron et « ami ».
J’y suis, j’y reste ! Déloge-moi si tu peux ! Pierre Semengue n’est pas du genre à lâcher du lest. Le général d’armée à la retraite confesse qu’il nourrit de grands projets pour la Ligue et que le seul moyen de transformer les promesses en actes c’est de se représenter, briguer un autre mandat de quatre ans au cours duquel il ferait mentir ceux de ses détracteurs qui estiment qu’il n’a rien foutu depuis son arrivée dans cette maison à problèmes. C’est qu’à trop vouloir bien faire, il s’est pratiquement cassé le nez. Pierre Semengue est peut être allé vite en besogne. Lui qui rêvait de diriger cette instance